Notre terre taurine se décline au gré de nos accents. Elle fait le lien qui unit notre culture à notre terroir…
Magali Belda connaît bien cette terre !
Avec son père qui fut président du club taurin de Gallargues, qui monta à cheval et qui dans sa jeunesse rasetait les taureaux, passionné par la culture et les traditions camarguaises et qui lui transmis sa passion. Il l’amena enfant à la manade Fanfonne Guillerme pour les traditionnelles Oreillettes, il lui fit découvrir les paysages et les enganes de Camargue.
Tout ceci laisse une empreinte indélébile…
A 16 ans, Magali participe à la « Festo vierginenco » aux Saintes Maries.
C’est l’occasion pour elle de porter pour la première fois le costume d’arlésienne adulte et son fameux ruban.
Quelques années plus tard, le ‘Pays Vidourle Camargue’ a fait de la bouvine et de son terroir, que nous appelons « Terre taurine » au sens large, le fil conducteur de sa candidature au dispositif européen LEADER.
C’est tout naturellement – lorsque Magali devint responsable d’un service tourisme et travaillant en collaboration avec le Pays – qu’il lui est apparu comme une évidence qu’il manquait une manifestation pour promouvoir autrement nos traditions.
Elle fit alors naitre le Salon de la Bouvine en 2008 qui suscita un véritable engouement de la part des acteurs de ce monde, démontrant à la fois le côté convivial de cette culture et surtout son aspect économique.
Aujourd’hui, la candidature de Magali Belda sur ce canton d’Aigues-Mortes, terre de traditions, est donc bien légitime. Elle saura porter et faire valoir toutes les subtilités de nos traditions bien au delà de l’assemblée départementale.
GARDons la proximité